L’Église a la conviction que son devoir de faire connaître le Christ au monde comprend l’obligation morale de préserver la dignité humaine par la promotion d’un niveau optimal de santé physique, mentale et spirituelle.
Outre l’exercice de ce ministère auprès des personnes malades, cette responsabilité inclut la prévention des maladies grâce à une éducation sanitaire efficace et en prenant l’initiative de promouvoir un état de santé optimal, sans consommation de tabac, d’alcool, ni de tout autre drogue ou aliments impurs.

Notre corps est le «temple du Saint-esprit» (1Co 6.9).

«L’énergie mentale et l’énergie spirituelle dépendent dans une grande mesure de la robustesse et de l’activité de ce corps; tout ce qui favorise la santé physique favorise également le développement d’un esprit solide et d’un caractère équilibré.» – Éducation, p. 221.

Voilà pourquoi nous vivons intelligemment en accord avec les fondements de la santé que sont l’activité physique, la respiration, le soleil, l’air pur, l’eau, le sommeil et le repos. par conviction, nous choisissons de manger de façon équilibrée, de porter des vêtements confortables, de veiller à l’hygiène, d’avoir de saines activités récréatives, et d’adopter librement les principes de la santé, de la maîtrise de soi et d’une alimentation saine. Nous nous efforçons de préserver un équilibre physique et mental en évitant tout excès. La réforme sanitaire et l’enseignement des principes de la santé et de la tempérance font partie intégrante du message de l’Église.

 

Issu du manuel d'église Révision 2015 par la Conférence générale de San Antonio